Publié le 14 janvier 2021 à 11 h 47
Auteur :
Auteur :
Martin Ross
L’aéroport régional de Mont-Joli fait partie des services essentiels. Chaque année, plus de 360 avions d’urgences et médicaux y décollent et atterrissent. Une cellule de crise a été mise sur pied pour assurer tous les services aéroportuaires au cas, ou des membres du personnel seraient testés positifs à la COVID.
Chantal Duchesne, DG, Aéroport régional de Mont-Joli-« Deux catégories de personnel séparé pour permettre, en cas d’infection, que l’aéroport ne ferme pas.»
De nombreux travailleurs transitent chaque semaine à l’Aéroport de Mont-Joli et ne sont pas assujettis au couvre-feu.
Chantal Duchesne, DG, Aéroport régional de Mont-Joli-« Le couvre-feu ne s’applique pas aux travailleurs essentiels ni aux passagers qui ont besoin de prendre l’avion ou de revenir de l’avion. À l’intérieur du terminal, on accepte uniquement les passagers ou une aide pour une personne à mobilité réduite.»
Malgré la pandémie et l’abandon des dessertes régionales par Air Canada, l’aéroport tire quand même son épingle du jeu. Plus de 450 mouvements d’avions sont enregistrés chaque mois.
« On a eu des transporteurs comme PAL Airlines qui ont apporté des vols supplémentaires, qui sont impliqués dans la communauté qui ont fait des dons de 5000$ à Moisson Mitis puis, qui désirent rester puis, après COVID, on va pouvoir avoir plusieurs destinations.»commente la directrice générale.